Nous avons besoin d’autre chose. D’apprendre à reconnaître les signaux discrets de notre corps. À comprendre notre terrain, pas seulement notre maladie. À retrouver une pédagogie de santé cohérente et rassurante. Et à mieux communiquer avec nos médecins. Car lorsqu’on comprend son histoire et ses symptômes, la médecine devient plus juste, plus efficace, plus humaine.